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En 1830 Barthélémy Thimonnier invente la première machine à coudre à point de chaînette
En 1834 Walter Hunt met au point une machine à points noués
En 1886 apparaissent chez Mundlos, des machines équipées de la marche arrière
En 1913 la firme Singer met au point un modèle de canette ronde qui est un standard -encore aujourd'hui
Dès 1930 La firme Naumann construit en série, des machines à point zigzag
Dans les années 30 déja, plusieurs constructeurs
équipent leur s machine d' un moteur électrique,

Après...


Les "perfectionnements"  promus par les influenceurs, les vendeurs -en grande-surface,
n'existent pas sur les machines industrielles

 
les porte-bobines horizontaux,
le pied presseur à semelle-clipsable -qui trop souvent se déclipse toute seule,
ou l'enfilage "automatique" (en fait, caréné -tout est caché et rien n'est accessible...)
 
Mais surtout, attention aux points suivants, sources de pannes ou de désagréments

les pièces mécaniques en matière plastique ou alliage léger
le moteur logé dans la machine
l'entraînement par galet
le crochet horizontal
l'électronique (cf infra)

(Citation) Les professionnels du commerce nous vendent souvent des machines

avec 50 points différents.

C’est joli mais croyez-moi, 5 points vous suffiront !

Une bonne machine c’est: le point droit, la marche arrière, le zigzag et la boutonnière.

Ce qui est vraiment important : Pouvoir régler manuellement la longueur et la largeur du point.


Pourquoi ?
Parce que suivant la
matière, l’épaisseur et la finition voulue vous aurez besoin d’ajuster votre point.
Sur les machines
pré-réglées vous êtes limités à des coutures de mauvaise qualité,
car elles
ne s’adaptent pas à toutes les possibilités de tissus.

source:  couturedebutant.fr

(...) [machines grand-pulic] font souvent appel à de l'électronique  (...)
Si elles offrent de nombreuses fonctionnalités avancées telles que la couture automatisée, il se trouve que c'est également la cause de nombreux dysfonctionnements. (...) Les composants utilisés dans ces machines étant par définition électroniques, et n'étant parfois plus disponibles sur le marché, rendent les réparations plus compliquées (...), et dans certains cas, impossible, faute de composants électroniques. Ce qui n'est pas le cas des machines à coudre mécaniques qui, bien entretenues, peuvent durer pendant des générations. La raison en est qu'elles sont plus faciles à réparer que les machines électroniques en raison de leur conception simple et de l'utilisation de pièces mécaniques standardisées

Source Wikipédia

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